Archive for novembre, 2017

Inévitablement, les cycles économiques vont de haut en bas. Lorsqu’un grave ralentissement économique se produit, même les plus performants éprouvent des doutes et des difficultés. Ceux qui travaillent à la commission ou possèdent leur propre petite entreprise, par exemple les agents immobiliers et d’assurance, les fournisseurs de services financiers et d’autres entrepreneurs, sont particulièrement vulnérables. Cependant, en dépit des périodes sombres, certains professionnels indépendants survivent et prospèrent. Ils gardent le cap en maintenant la négativité baissée et la productivité en hausse. Ils améliorent les processus qu’ils emploient plutôt que de ruminer sur les profits qu’ils manquent. Comment vous maintenez-vous quand les affaires sont en panne, et que faites-vous pour optimiser votre situation? Une approche systématique et un ensemble de stratégies peuvent vous aider à combattre le blues et à renforcer votre entreprise. Construire un plan d’action basé sur le pragmatisme et le réalisme vous permet de mieux contrôler les facteurs que vous pouvez influencer. Lorsque vous maintenez une attitude positive couplée à un accent sur la productivité, vous pouvez puiser dans vos réserves d’énergie psychique et de créativité pour tirer le meilleur parti de votre temps de travail. Que faire lorsque les affaires sont en panne ; Rattraper sur les documents. ; Réorganiser les processus pour devenir plus efficace lorsque les choses recommencent à rouler. ; Définir de nouveaux objectifs et plans d’action. ; Trouvez des moyens créatifs et novateurs de mener des activités de marketing, de sensibilisation et de réseautage. ; Augmentez vos connaissances et vos compétences dans des aspects de votre profession en dehors de votre domaine d’expertise habituel. ; Suivez un cours ou obtenez un tuteur pour améliorer ou renforcer vos compétences technologiques. ; Parlez aux comptables et aux conseillers financiers de votre rentabilité et de votre rentabilité. ; Utilisez votre temps pour améliorer votre santé physique et mentale. Si vous êtes une personne à temps partiel, les moments difficiles peuvent vous inciter à dépenser moins de temps que votre temps pour votre entreprise. Cependant, même lorsque les téléphones ne sonnent pas et que vous ne rencontrez pas de clients, vous devrez peut-être augmenter et intensifier vos heures de travail afin de faire connaître votre entreprise et d’améliorer vos compétences. Établir des mesures proactives pour tirer parti des possibilités qui existent et être prêt à agir lorsque les conditions économiques s’amélioreront. Que faire pour vous garder en place Gérer le stress et les pensées négatives. Visualisez les bons moments: passez en revue les forces, les talents et les compétences qui ont contribué à votre succès précédent. Une technique consiste à réellement s’asseoir dans une chaise marquée & ldquo; Coach & quot; ou & ldquo; Mentor. & rdquo; Demandez-vous, & ldquo; Quels ont été vos plus grands succès et comment les avez-vous orchestrés? & Quot; Dites-vous ce que vous devez faire pour assurer une performance maintenue ou améliorée, par exemple: faire un nombre X d’appels à froid, revisiter d’anciens clients, explorer une nouvelle technologie particulière qui pourrait aider ou enquêter sur une nouvelle entreprise qui pourrait être rentable. Tous les jours ; Faites de l’exercice pendant 20 à 30 minutes. ; Faites deux appels aux clients avec lesquels vous avez travaillé au cours des 2 dernières années. ; Écrivez deux notes aux clients, collègues et autres que vous avez rencontrés et avec lesquels vous devriez vous entretenir. Toutes les semaines ; Prenez un client actuel ou précédent pour le déjeuner, le dîner ou le café. ; Assister à une réunion de réseautage avec d’autres professionnels indépendants ou des groupes interentreprises. Choses à considérer ; Rejoignez un groupe de bénévoles qui a une représentation diversifiée de groupes d’affaires. ; Partenaire avec un autre entrepreneur, consultant ou agent. ; Passez au moins deux heures par semaine à lire des livres ou à écouter des cassettes pour élargir vos connaissances générales ou professionnelles. ; Inscrivez-vous à un cours en ligne ou sur place pour améliorer vos compétences (p. Ex. Comptabilité, informatique). ; Renseignez-vous sur les services de coaching. ; Prévoyez au moins une heure par mois pour purger les fichiers, organiser les documents ou mener des activités de maintenance informatique. ; Mettre à jour les bases de données et intégrer les informations entre le téléphone mobile, le PDA et l’ordinateur. ; Envoyer des mailings sur une base régulière. Être cohérent. ; Faire un effort particulier pour avoir des e-mails et des documents de marketing reflètent votre personnalité. ; Participez à plusieurs réunions de la Chambre de commerce. ; Considérez les temps: comment pouvez-vous aider vos clients et collègues à soulager le stress? Peut-être que vos mailings ou présentations devraient inclure une bande dessinée ou une blague. S’élever pour faire face aux défis d’un ralentissement du marché peut conduire à une plus grande rentabilité à long terme; Cela peut aussi vous aider à être en meilleure santé. L’application de stratégies systématiques de productivité maintenant peut vous permettre de déclarer à l’avenir que vous avez résisté à la tempête et maximisé vos possibilités de croissance personnelle et professionnelle. Retrouvez toutes les infos sur l’Agence SEO Lille.

Compte tenu du vieillissement de la population francaise, le nombre de personnes souffrant de pathologies neurodegeneratives augmentera dans les annees a venir. La maladie de Parkinson est, apres la maladie d’Alzheimer, la deuxieme maladie neurodegenerative la plus frequente. En France, a la fin de 2010, environ 150 000 personnes etaient traitees pour maladie de Parkinson, soit une prevalence de 2,30 pour 1 000 habitants. Le nombre de patients ayant debute un traitement pour maladie de Parkinson au cours de 2010 etait d’environ 25 000, soit une incidence de 0,39 pour 1000 personnes-annees. Les hommes sont touches par la maladie environ 1,5 fois plus souvent que les femmes. Ces deux indicateurs augmentent avec l’age, mais il est probable que les patients ages de plus de 80 ans soient sous-identifies. Bien qu’elle soit rare avant 65 ans, pres de 20 % des patients sont touches par la maladie avant cet age. L’obtention et le maintien d’une bonne couverture vaccinale constituent des elements clefs dans le controle et l’elimination des maladies infectieuses a prevention vaccinale. Les resultats d’un programme de vaccination s’evaluent non seulement par la surveillance de l’incidence des maladies cibles, les donnees serologiques, le recensement des eventuels effets secondaires des vaccins, mais aussi par la mesure reguliere des taux de couverture vaccinale dans la population. Pour les maladies en voie d’elimination (poliomyelite, diphterie, etc.), ce suivi doit permettre d’identifier rapidement toute diminution de couverture vaccinale pouvant conduire a la resurgence de la maladie. En outre, la persistance de cas sporadiques de tetanos chez les personnes agees, associee a l’augmentation des voyages vers les pays ou perdurent des cas de poliomyelite, rend le suivi de la couverture vaccinale des adultes indispensable. La vaccination antigrippale fait par ailleurs l’objet d’une attention particuliere. Maladie infectieuse frequente et generalement banale, la grippe est responsable de complications graves voire mortelles chez les personnes agees et les personnes atteintes d’affections chroniques ou susceptibles d’etre aggravees par le virus. Les recommandations vaccinales concernent ainsi les professionnels de sante, les personnes de 65 ans ou plus et celles atteintes d’une affection pour lesquelles l’Assurance maladie assure la prise en charge du vaccin contre la grippe. La couverture vaccinale contre la grippe saisonniere reste tres insuffisante, inferieure a la cible de 75 % dans les deux principaux groupes concernes. Jusqu’en 2008-2009, les couvertures etaient en progression. Depuis la pandemie A(H1N1), on observe une baisse constante de la couverture vaccinale grippale, qui concerne principalement les personnes agees de 65 ans ou plus, pour lesquelles la baisse est en 2013-2014 de 13 % par rapport a la saison 2008-2009.

Le week-end dernier, j’ai réalisé une expérience extraordinaire : un vol de 30 minutes en avion de chasse. Une aventure qui m’a paru compliquée à raconter, à tel point que j’ai longuement hésité à rédiger un billet sur le sujet. Mais en même temps, si je garde pour moi une expérience aussi incroyable, quelle est l’utilité de ce blog, je vous le demande ? Samedi dernier, donc, je me suis rendu à l’aéroport pour y réaliser mon baptême. Si j’avais bien tout l’équipement des chevaliers du ciel, avec le casque et la combi anti-G, ce n’était là qu’une apparence ; car je vous garantis que je n’en menais pas large lorsquil a finalement fallu gagner le taxiway ! En approchant de l’appareil, j’ai même senti mon estomac se tordre et me suis demandé s’il ne valait pas mieux tout annuler. Et s’il n’y avait eu ma petite famille derrière les barrières de sécurité, qui sait si je n’aurais pas fait marche arrière ? Mais tous ces petits tracas se sont vite envolés. Littéralement. Car une fois en vol, je me suis soudain senti bien, comme un poisson dans l’eau. Il faut dire que le L-39 dégage une réelle sensation de puissance : il ne s’écarte pas du tout de sa trajectoire, quel que soit le vent. Le vol est très différent de celui qu’on peut avoir dans un Cessna, par exemple ! Cela dit, il vaut mieux être clair : un vol de ce type n’est pas pour les natures sensibles ! Si tout va bien les premiers instants, ça devient particulièrement féroce dès lors qu’on entame la partie voltige ! Parce que là, on ressent la sauvagerie du vol dès le premier tonneau, lorsqu’on est soudain pressuré sur son siège à cause de la vitesse. La pression est tout simplement extraordinaire. Imaginez : on reçoit par moments 4 G, ce qui signifique qu’on pèse alors 4 fois son poids normal ! La sensation est si violente qu’il faut raidir ses muscles le plus possible afin de rester conscient ! Evidemment, je sais bien que décrit de cette façon, ça ressemble plus ou moins à de la torture. Mais croyez-moi, cette « souffrance » est véritablement un plaisir. C’est une expérience délirante absolument impossible à décrire. Il n’y a que le fait de passer des G positifs aux négatifs à tout va qui est vraiment douloureux, en définitive. Ca,vraiment, c’est de trop : ça remue salement l’estomac. J’avais la sensation que mes organes jouaient au yo-yo, ce qui n’est franchement pas la meilleure façon de contenir son café du matin en dessous de l’oesophage. Et même si j’ai bien apprécié cette expérience qui n’est, à ma connaissance, semblable à nulle autre, j’ai été ravi de prendre la route du retour ! Une fois sur le tarmac, mon premier réflexe a été de m’accroupir sur le sol. J’étais heureux comme un pape, mais ce n’était pas pour bénir le sol : seulement pour rendre mon petit-déjeuner. Mais heureusement, ce passage n’apparaîtra pas sur la vidéo embarquée ! Encore plus d’information sur cette expérience de baptême de l’air en L-39 à Paris Pontoise en cliquant sur le site web de l’organisateur.

L’inflation de livres « verts » ne se dément pas: ce sont désormais plusieurs dizaines de nouveaux ouvrages qui vantent, chaque année, les systèmes économiques alternatifs, socialement responsables, adeptes des circuits courts, du recyclage, des énergies renouvelables et de l’agriculture bio. La plupart du temps sur fond d’anticapitalisme assumé et de culpabilisation du consommateur « ventre », qui absorbe et rejette toujours plus. L’Economie symbiotique est, certes, en partie de cette veine-là. Mais l’ouvrage d’Isabelle Delannoy, agronome de formation, offre beaucoup plus. Grâce à un effort sans précédent de mise en cohérence s’assemblent sous nos yeux les pièces du puzzle (permaculture, biomimétisme, économie circulaire, économie de la fonctionnalité, du partage, monnaies complémentaires, crowdfunding, open source, mise en réseau…) qui en dessinent les contours. Et si le futur était désirable? Cette économie est régulée par les interactions entre l’intelligence humaine, la puissance des écosystèmes naturels et la technologie, et elle permettrait de vivre tout aussi bien qu’aujourd’hui en réduisant de 90% nos prélèvements sur la nature. L’auteure, au passage, met à mal quelques idées reçues. On pourrait croire, par exemple, que cette économie symbiotique est un rêve de riches. Eh bien, au contraire, c’est tout autant en Amérique latine, en Asie, en Afrique qu’en Occident que les expériences les plus stimulantes se multiplient. La question de la transition vers ces nouveaux modèles est abordée avec franchise, sans rien nier des obstacles qui se dressent sur sa route. En refermant ce livre, le futur vous paraîtra à coup sûr désirable… Et vous vous surprendrez peut-être à le juger réalisable…

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