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cuisine19Je l’avoue, je ne suis pas un grand cuisinier. Mais je fais des efforts. Par exemple, hier, j’ai suivi un cours de cuisine à Quimper. Certes, il m’avait été offert par ma famille et j’étais donc bien obligé d’y aller. Parmi tous les plats proposés, j’y ai notamment fait la découverte d’une recette fort sympathique : le minestrone, que je ne connaissais que de nom. La recette proposée est pour 6 à 8 personnes, et les ingrédients pas compliqués à trouver. Jugez vous-même : 200 g de haricots rouges secs, 2 cuill. à soupe d’huile d’olive, 2 oignons hachés, 2 gousses d‘ail écrasées (sans le germe), 3 tranches de bacon émincées, 4 tomates roma (ou d’autres tomates allongées) pelées et hachées, 3 cuill. a soupe de persil plat ciselé, 2.25 l de bouillon (bœuf. volaille ou légumes), 6 cl de vin rouge, 1 carotte en petits dés, 1 branche de célerl en petits dés, 2 pommes de terre en petits dés, 3 cuill à soupe de concentré de tomate, 2 petites courgettes (coupées en deux dans la longueur puis en rondelles), 80 g de petits macaronis, 50 g de petits pois frais ou surgelés, pesto et parmesan râpé pour servir, sel et poivre du moulin. La recette est très simple. Faites tremper les haricots pendant une nuit dans un grand saladier d’eau froide. 2 Rincez et égouttez les haricots, puis mettez-les dans une grande casserole et couvrez-les d’eau froide à hauteur. Portez à ébullition, remuez, puis baissez le feu et laissez cuire 15 minutes à feu doux. Égouttez à nouveau. Faites chauffer l’huile dans un faitout, ajoutez les oignons, l’ail et le bacon puis laissez-les fondre à feu modéré, en remuant, jusqu’à ce qu’ils soient tendres et commencent à dorer. Ajoutez les haricots, les tomates, le persil, le bouillon et le vin. Portez à petite ébullition, couvrez et faites cuire 2 heures a feu doux. Mettez ensuite la carotte, le céleri, les pommes de terre et le concentré de tomate dans le faitout. Faites repartir l’ébullition, couvrez et poursuivez la cuisson pendant 20 minutes. Ajoutez enfin les courgettes, les macaronis et les petits pois. Remettez le couvercle et laissez cuire encore 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que les légumes soient juste tendres et les pâtes cuites à point. Goûtez et rectifiez l’assaisonnement à votre convenance. Servez avec une coupelle de pesto et un ramequin de parmesan râpé et savourez. Si vous hésitez à refaire cette recette chez vous, je vous la recommande vraiment ! Et si un atelier de ce type vous tente, je vous mets le lien vers mon cours de cuisine. Suivez le lien pour en savoir plus sur ce cours de cuisine diététique à Quimper.

Ma femme ne désespère pas que je me mette un jour à la cuisine. Je lui ai pourtant dit je ne sais combien de fois que ça n’arriverait jamais, que ça ne m’intéressait pas. Et je ne compte pas changer de position ! Malgré tout, je me suis quand même laissé convaincre d’assister, le week-end dernier, à un atelier de cuisine à Cannes. Il paraît que femme varie, mais ce n’est clairement pas le cas de ma femme : lorsqu’elle a une idée en tête, il est difficile de la faire changer d’avis ! Et il se trouve qu’elle a bien fait de me pousser un peu. Car en dépit de ce à quoi je m’attendais, j’ai été conquis par cette expérience ! Cela peut sembler étrange, mais il y a une raison bien simple, à vrai dire : cuisiner dans des conditions pareilles, c’est juste le paradis ! En premier lieu, le cadre était séduisant : les cuisines étaient gigantesques et parfaitement rangées. Chez moi, c’est carrément l’inverse : tout le monde range les ustensiles à un endroit différent et il faut toujours passer dix minutes pour trouver le moindre truc. En second lieu, il y avait un chef qui détaillait chaque étape du menu, ce qui est pratique pour un novice qui découvre. J’évite de cuisiner à la maison car j’ai toujours l’impression de faire une bourde ; c’est très déplaisant. Enfin, si nous avons cuisiné, nous n’avons pas fait la vaisselle après ! Et de mon point de vue, je peux vous certifier que c’est important. Si je suis un inconditionnel des barquettes toutes prêtes, c’est en partie à cause de la vaisselle impressionnante que la cuisine maison réclame généralement. Et c’est pourquoi, même si cet atelier m’a bien plu, que ça ne m’a pas plus poussé à transformer l’essai chez moi. C’est qu’à la maison, je ne possède pas toutes ces choses qui rendent la vie en cuisine franchement plus intéressante ! Alors ne proposez pas ce cours si c’est dans l’espoir de changer les fainéants en chefs étoilés : ça ne saurait marcher. Mais si vous voulez juste du fun, ce cours de cuisine est parfaitement adapté. Voilà d’ailleurs le site, si le coeur vous en dit. http://www.cours-de-cuisine.net

gastro

L’entreprise pour laquelle je bosse manque souvent d’efficacité et cela a tendance à sérieusement m’exaspérer. Pour autant, je dois lui reconnaître ceci : elle est efficace quand il s’agit de rebooster la motivation de ses collaborateurs. Elle met souvent en place des actions, et notamment des incentives qui permettent aux salariés de se retrouver dans un contexte différent. Dernièrement, la direction nous a ainsi proposé de devenir des chefs cuistots dans le cadre d’un incentive culinaire à Barjac en Aquitaine. Ce n’est pas la première fois que j’assiste à une activité gastronomique de ce genre, mais j’apprécie toujours autant. Ce qui est pour le moins singulier, car au quotidien, cuisiner est pour moi une corvée. Mais curieusement, dans le cadre de ce genre d’animation, je suis soudain mieux disposé. C’est que cuisiner chez soi ou entre collègues est loin d’être la même chose. D’abord, cela permet de discuter avec de nouvelles personnes avec lesquelles on a peu l’habitude d’échanger. Le fait de cuisiner facilite grandement cet échange, vu qu’on se retrouve en groupe autour d’une table pour préparer plusieurs plats. Ensuite, le fait de cuisiner permet d’échanger dans un environnement détendu, loin des tensions du bureau. Ce qui est, là aussi, un sérieux avantage. D’autant que lorsqu’on cuisine, la hiérarchie est soudain remplacée par autre chose. En effet, sur le plan de travail, les qualités de chacun n’ont pas de lien avec la place hiérarchique qu’occupe chacun au sein de la société : des salariés lambda peuvent donc y délivrer leur savoir-faire face à des directeurs haut gradés qui n’en mènent souvent pas large. Ce type de situation contribue pour une bonne part à entretenir l’esprit d’équipe. Et quand vient le moment de déguster les plats préparés avec amour, l’atelier se change en un grand repas dont on profite d’autant plus qu’on a trimé pendant des heures en cuisine. D’une certaine manière, cela contribue à faire de la dégustation un moment de encore plus convivial, et là aussi propice aux échanges. De tous les incentives que j’ai eu l’occasion de faire ces dernières années, je trouve que l’incentive culinaire est l’un des plus efficaces, pour souder une équipe et la rebooster. Les compétitions sportives ont évidemment leurs avantages, mais elles servent un but bien différent. Si vous voulez savoir ce qui était au menu de ce dernier incentive, je vous mets en lien l’agence qui s’est occupée de cette manifestation : http://www.agenceincentive.com/destinations/incentive-france/incentive-aquitaine/

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